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  • Opinions

«Nous aimerions limiter les possibles atteintes à l’environnement à un minimum»

Même si personne ne veut renoncer à des aliments irréprochables, les produits phytosanitaires suscitent encore bien des réticences dans la population. Celles-ci ont eu tendance à se renforcer ces derniers temps. Souvent, ces réticences reposent sur une absence d’informations ou sur des informations erronées. Un commentaire de Samuel Guggisberg.

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Dans notre travail de tous les jours à la ferme, nous sommes confrontés à de nombreux préjugés ainsi qu’à des idées fausses. Dans les discussions avec les passants, il est fréquent que l’on entende des choses comme «le bio n’a pas besoin de produits phytosanitaires» ou «pourquoi pulvérisez-vous constamment vos champs?». En vérité, le bio ne peut pas se passer d’une protection innovante des plantes. D’ailleurs, 40% des produits phytosanitaires en Suisse sont également homologués pour le bio. Et d’une manière générale, nous autres agriculteurs ne pulvérisons pas nos champs pour le plaisir de pulvériser. Le seul coût des produits phytosanitaires suffit à comprendre pourquoi. 

Nous aussi souhaitons limiter les possibles atteintes à l’environnement à un minimum. Nous, les agriculteurs suisses, en agriculture conventionnelle ou en agriculture bio, utilisons les produits phytosanitaires très soigneusement et de manière mesurée. Et parce que nous sommes d’avis que les faits parlent plus facilement d’eux-mêmes, nous avons mené une campagne sur la protection des plantes en été 2019.

Notre objectif était d’illustrer pourquoi la protection des plantes est nécessaire. Pour cela, de petites surfaces de différentes parcelles n’ont volontairement pas été traitées contre les parasites et les mauvaises herbes. On a ainsi pu montrer sur place les effets d’une absence de protection. Par exemple, l’apparition d’un fouillis de mauvaises herbes en lieu et place de betteraves sucrières.

Cette campagnes avec différentes cultures a frappé les esprits et ouvert les yeux de beaucoup de gens. Nous avons atteint notre objectif. Ou du moins obtenu une victoire d’étape. Parce que le travail d’information continue.

Samuel Guggisberg est président de la CI BauernUnternehmen. Il dirige une exploitation familiale à Zimmerwald, dans l’Oberland bernois, où il cultive surtout la pomme de terre. De plus, il travaille comme agro-entrepreneur pour d’autres exploitations agricoles et leur fait profiter de son savoir-faire et de ses machines de haute technologie. 

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